Pour la défense de la langue anglaise

alors, je vois comme il est ignorant de discuter (ou bien de disputer) les droits des anglophones de montreal en français, tandis que je parle l'anglais comme langue primaire. Mais il faut ainsi creer une presence adéquate francophone sur l'internet ainsi de communiquer avec tout mes concitoyens.

Je crois, en tant qu'être membre de l'unique minorité anglophone nord-américaine, que j'ai l'habileté de conduire ma vie entre deux monde, soit le francais (qui se divise encore entre les européens et les américains) ou l'anglais (comme Canadien, je me trouve grandememt influencé par la culture américaine, mais je possède quand même une grande affiliation avec la culture britannique). En sachant ses deux langues plutot également, j'habite dans 5 coins du monde simultanément. Dans une seule ville.
J'adore montréal et la culture globe dont elle accueille. Mais cette tolérance est la faute d'une grande division entre nos deux cultures dominantes, soit les evenements sont en anglais ou en francais, nos groupes ethniques ne se melent pas souvent, c'est difficile toujours de savoir si celui à qui on parle ou bien l';anglais ou le francais.
C;est difficile de s'adapter ici sans parler le francais a moins. C'est le plus important partie de notre patrimoine, on retrouve 5 fois plus de francophones dans la region de montreal que dans le pays entier des Etats-Unis. Ceci est a corriger, mais notre ville reste veritablement le deuxieme ville francophone du monde.

But english speakers all deserve teh right to be free and be served in their own language, one thing that gets on my nerves is the hidden racism which is state sanctioned practically, it is cool to disrespect an english speaker, even though the vast majority of montreal anglophones are now bilingual, and try to speak french as a matter of politeness. We still feel downtrodden and disrespected, especially outside of certain western neighbourhoods and downtown.

salut la visite
mark alexander sabourin